Saine Gestion, tout comprendre en 4 minutes chrono!

Même si le concept de Saine Gestion et son application existent depuis 20 ans, l’approche  gagne à être connue. Les témoignages sont de plus en plus nombreux à cet effet. Les outils sont nombreux et faciles à utiliser par les organisations. Saine Gestion nécessite deux conditions préalables : l’honnêteté et la connaissance du concept. À chaque fois que nous réussissons à faire comprendre le concept et la simplicité de son modèle, nous gagnons un adepte.

Malheureusement, de nos jours, trop de gens finissent par croire que la vertu est illusoire, que tout est corrompu, et qu’à part la répression il n’y a rien à faire. Le cynisme devient le PROZAC  de la gestion, la méfiance s’installe et l’estime de soi en prend pour son rhume.

Saine Gestion n’est pas une approche éthique de la gestion. L’éthique est intégrée aux obligations légales et morales qu’impose un rôle de mandataire ou de fiduciaire.

TOP CHRONO : 4 minutes

Vous lisez tranquillement : 1 minute. Vous relisez attentivement : 3 minutes.  Vous ne comprendrez pas tout,  bien sûr, mais vous saurez ce qu’est l’approche de Saine Gestion.

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Saine Gestion avec un (S) majuscule et un (G) majuscule

C’est quoi ?

1. Gérer, c’est planifier, organiser, diriger, contrôler  et coordonner. Gouverner, c’est la même chose.
2. Sainement gérer, c’est tenir compte dans chacun de ses actes administratifs du principe de transparence, de continuité, d’efficience,  d’équilibre, d’équité et d’abnégation.
3. L’obligation de Saine Gestion est d’utiliser chacun des principes sans utiliser l’un de ces principes au détriment de l’autre.
4. L’obligation de sainement gérer naît de la position de confiance que l’on donne à un mandataire ou à un fiduciaire.

Ça sert à quoi ?

Universellement, administration publique ou privée, gouvernance ou gestionnaire,

1. pour guider la gouvernance intègre et protéger le droit et la justice naturelle,
2. contraindre les  vertus qui seraient plus faibles et
3. combattre les profiteurs et autres crapules
4. protéger la démocratie, qui n’est ni le totalitarisme ni l’anarchie (Poids et contre-poids)

Ça s’applique comment ?

1. En combinant les actes administratifs (5) avec les principes (6) : une matrice de (5×6 + 5+6) = 41 cases apparaît.
2. Cette matrice forme un système ou un cadre de gestion qui combine chaque acte de gestion à une obligation spécifique. Formant un maillon, il est difficile de négliger une obligation.

Des outils pour les organisations ?

Chaque case du système (41) est un tiroir qui propose des règles de gouvernance et des moyens pour assurer que les actes posés au quotidien soient conformes au concept (combinaisons  des actes de gestion et des principes fondamentaux).

Cet outil s’appelle Cadre de Saine Gestion (CDSG).

        Il contient :

1. Le quoi-faire (plus de 200 suggestions)
2. Le comment-faire (plus de 200 suggestions)
3. Le justificatif de saine gestion, chaque case étant supportée par un principe ou une norme de Saine Gestion (PSGGR) (plus de 350 normes et principes de gestion).

Pis alors, ça ne va pas empêcher les crapules et autres mafieux !

1. C’est vrai, mais ça va leur rendre la vie passablement plus difficile.
2. Il restera toujours la prison comme élément dissuasif.

Peut-on vérifier la Saine Gestion ?

1. Aisément. 41 points de vérification qui s’entrecoupent et font ressortir les actes administratifs aussi crus que véritables.
2. Pour la gouvernance et les gestionnaires intègres,  il est possible de faire vérifier leur gestion.
3. Un audit des 41 cases est facile parce que basé sur des éléments factuels et actes de gestion facilement vérifiables, contrairement  à une vérification empirique de la gestion.

TOP CHRONO (4 minutes)

Tout ce vous vouliez savoir mais n’avez jamais osé le demander !

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