Caisse de dépôt et placement : Un régime minceur par la fine cuisine.
Nous venons tous d’apprendre par les médias que des cours de cuisine sont maintenant dispensés aux cadres de la Caisse de Dépôt et de Placement (CDP) pour leur apprendre à nous concocter un régime minceur, avec canard et caviar sans doute !
Du président jusqu’aux gérants d’estrade, en passant par les cadres supérieurs et intermédiaires, ça pense à quoi un cadre qui gouverne ? Ne pourraient-ils se garder une petite gêne ?
Après la perte de 40 milliards, il n’y a pas si longtemps, on s’attendrait à tout le moins à un vrai régime minceur, à une certaine humilité managériale. Une Saine Gestion est évidemment un peu trop demandée à des administrateurs de société dont le principal souci est de rester compétitif sur le marché de l’emploi pour conserver ses cadres compétents et irremplaçables.
D’accord, ces grands administrateurs de société ont appris qu’il y avait le principe de Continuité, et qu’il fallait assurer la passation des pouvoirs et le maintien des compétences pour que l’organisation puisse remplir sa mission. Bravo, un sur six. Et les cinq autres principes ? En matière de Saine Gestion nous l’avons dit, aucun principe fondamental ne peut être invoqué au détriment des autres. C’est le paradoxe de la gestion, et c’est pour ça que l’on engage des décideurs professionnels capables d’appliquer les valeurs transmises par le conseil d’administration. Considérant leurs salaires confortables, bonis inclus ou non, on s’attendrait à ce que ces précieux employés, compétents et irremplaçables, soient capables de penser à six choses à la fois.
En matière de Saine Gestion c’est le maintien de ce que l’ISG appelle la conscience éthique permanente qui assure l’homéostasie des 6 principes. Le principe d’Efficience, manifestement, ne fait pas partie de la conscience éthique de ces décideurs. Pour mémoire, le principe d’Efficience fait appel à la fois à l’efficacité, c’est-à-dire la recherche des résultats (meilleurs qu’une perte de 40 milliards de dollars), et à l’économie des moyens (ça ils ne connaissent pas souvent).
Faut-il avoir à ce point des surplus dans les budgets d’exploitation des grandes sociétés d’État, que ce soit à la CDP, à l’Hydro-Québec, à la Société des alcools, à la SAAQ et dans le réseau de la santé, pour que les pauvres cadres surmenés aient besoin autant de divertissements payés par nos taxes et impôts?
À moins que la Gouvernance considère la Saine Gestion trop difficile à imposer à leurs cadres qui, devant la nécessité de gérer avec rigueur et minceur, préféreraient travailler pour un employeur moins scrupuleux.
S’il vous plaît dites-moi que j’ai tort !
l’ISG vous offre une courte présentation qui vous explique sommairement le concept et le modèle de Saine Gestion.
Faites-le partager à vos amis et contacts professionnels.
27 commentaires
En lisant vos propos, je me demande, la Saine Gestion fait-elle peur aux gestionnaires en raison des contraintes qu’elle impose?
Est-ce dire que la Saine Gestion va obliger les gestionnaires à être plus respectueux de leurs ressources financières, matérielles et humaines ?
Si oui, que se passera-t-il de leur compte de dépense abusif, de leur voyage injustifié, de leur activité questionnable (Club de golf, Yoga, Cuisine et partie…) ?
La Saine Gestion va les obliger à gérer autrement dans le respect des principes, mais ils ne le feront que si la population dans son ensemble l’exige. Il semble qu’il y a un ras-le-bol des abus de toute sorte, le public est-il prêt à obliger les instances à mettre en place la saine gestion dans toutes les organisations gouvernementales ? C’est notre argent que l’on dilapide, assez c’est assez.
Alors qu’attendons-nous ???
Jean Tremblay
Bonjour Monsieur Tremblay,
Vous avez malheureusement raison, la Saine Gestion fait parfois peur aux gestionnaires qui hésitent à sortir de leur zone de confort. Cependant, tous les « convertis » vous le diront, la Saine Gestion ne protège pas uniquement les ressources confiées aux gestionnaires; elle protège également les gestionnaires contre eux-mêmes (la chair est faible) et contre tout reproche injustifié d’une instance supérieure telle qu’un conseil d’administration.
Finalement, je vous réfèrerais à l’excellent texte de Bernard Brault, La résistance des décideurs au concept de Saine Gestion, une explication, publié récemment sur le site de l’Institut.
Philippe Bruno, Adm.A.
Membre du Comité consultatif
Institut de Saine Gestion
Je suis en France et je viens de découvrir ce site canadien. Malgré un contenu on ne peut plus régional, je vous félicite pour le concept qui est fort louable, et soit dit en passant, fort intéressant.
En réponse à Mr. Tremblay et Mr. Bruno, je pense qu’il y a quelque chose de socialiste dans le concept de Saine Gestion, quelque chose comme une équité universelle. Ne pensez-vous pas que la Saine Gestion devrait prendre racine dans les syndicats nationaux pui gagner, par capilarité, tous les travailleurs, puis tout le peuple? Devant un tel engouement, aucun Président, aucun Monarque, aucune Ministre ne saurait fermer les yeux et les oreilles.
Les syndicats sont, selon moi, le moteur et le véhicule par excellence pour votre concept.
Existe-t-il une organisation soeur à la vôtre ici en France?
Cédric
Wow, c’est fort. Je suis le site en silence depuis un moment et je trouvais le principe de seine gestion très intéressant. Mais aujourd’hui d’apprendre que ça nous protège en temps que gestionnaires, c’est fort. Je n’avais pas encore vu ça sous cette angle.
@Philippe, peux-tu élaborer sur le sujet, ça m’intéresse.
Sylvestre
Bon article en effet le texte de Bernard! Ça explique beaucoup de choses.
C’est effectivelement vrai que le gestionnaires croch sont peur de le Saine Gestion. Ça leur coupe littéralment la main dans le sac. Il faut que le masses se mobilise et exige le Saine Gestion du gouvernment Charest partout dans le machine gouvernmental.
George
Est-ce que tous les principes ont la même importance ou, au contraire, y a-t-il une importance relative différente? Par exemple, si on est un organisme de charité, est-ce que la transparence n’est pas plus importante que l’efficience car on ne veut pas de profit?
Étienne
Bonjour Étienne,
Votre question est tout à fait pertinente et est au coeur de la Saine Gestion. On pourrait y consacrer un chapitre complet mais je vais essayer d’y répondre brièvement.
Votre question fait appel à deux concepts importants de la Saine Gestion qu’il ne faut cependant pas confondre : l’importance relative des valeurs et l’homéostasie.
L’importance relative des valeurs dépend donc de la mission de l’organisation et des enjeux. Ainsi, comme vous l’aviez pressenti, tous les principes n’ont pas toujours la même importance relative.
L’homéostasie (ou équilibre homéostatique) rappelle au gestionnaire que les principes fondamentaux doivent être interprétés en maintenant en équilibre les fonctions et les valeurs du système face aux changements extérieurs. Autrement dit, on ne peut pas invoquer un des six principes de Saine Gestion (transparence, continuité, efficience, équilibre, équité et abnégation) au détriment d’un autre.
Pour reprendre votre exemple, le directeur général d’un organisme de charité ne saurait minimiser l’effet de dépenses injustifiées par le caractère non lucratif de l’organisme qu’il dirige. Ainsi, même si le principe de transparence a en effet une plus grande importance relative dans ce type d’organisme compte tenu de la mission et des enjeux, le principe d’efficience n’est pas pour autant moins présent dans un OSBL. Finalement au nom de la transparence on ne pourrait justifier la non efficience de l’organisation.
Philippe Bruno, Adm.A.
Membre du Comité consultatif
Institut de Saine Gestion
Est-ce que le non respect des principes de saine gestion peut entraîner une amende ou même de la prison. Comme tout le monde, vous devez lire les journaux et écouter les nouvelles. Et si la sortie publique de Marc Bellemare démontrait que notre premier ministre Jean Charest est un escroc, quel pourrait être son châtiment? Est-ce que l’institut a un pouvoir légal?
R.C.
Bonjour Cédric,
Bien qu’il y ait un certain intérêt pour le concept de Saine Gestion en Europe, il n’existe pas pour le moment d’organisation soeur à la nôtre de votre côté de l’Atlantique.
Le concept de Saine Gestion existe depuis plus de vingt ans au Québec, mais il faut croire qu’il aura fallu attendre quelques scandales financiers pour en justifier, du moins dans l’esprit des gens, la nécessité.
Philippe Bruno, Adm.A.
Membre du Comité consultatif
Institut de Saine Gestion
Assez c’est assez en effet! Vive la saine gestion!
Moi, je suis d’accord avec Jean Tremblay et Denis, nous en avons plus qu’assez. Si la saine gestion est la solution aux 4C (Charest, Construction, Collusion, Corruption), je suis partante.
Je viens de me taper la lecture de tout ce site (que j’avoue honteusement venir de découvrir même s’il existe depuis 20 ans) et je suis renversée d’apprendre qu’il existait au Québec un tel système de principes qui aurait pu empêcher des drames (oui, appelons les choses par leur nom) comme celui de Norbourg, de l’UQAM ou de la Caisse de dépôt.
Je ne répèterai pas la question fondamentale à laquelle les promotteurs de ce site ont déjà répondu maintes fois (à savoir pourquoi nos gouvernements n’impose pas un tel système). Je me lèverai plutôt debout (de tous mes 5 pieds 2 pouces) et crierai haut et fort qu’il faut que ça change.
Notre gouvernement Charest actuellement au pouvoir a violé plus d’une fois tous les principes évoqués et référencés dans ce site et dans celui de l’ordre des administrateurs agréés du Québec (l’origine de ces principes si j’ai bien compris). Ni le premier ministre, ni aucun de ses ministres n’ont manifesté de scrupules à cacher au peuple Québécois des informations importantes afin de prendre des décisions dans notre dos. Nous les Québécois, nous avons la mémoire courte. Demain matin, on aura déjà oublié que madame Courchesne discutait en catimini avec les écoles juives afin de les ‘accomoder’. Demain après-midi, on aura déjà oublié que Marc Bellemare dénoncait les façon de faire douteuses du parti libéral et donnant à tout le moins impression de conflit d’intérêt. Demain soir, on aura oublié les scandales de la construction au Québec. Et après demain, on ne se souviendra même plus que Jean Charest se faisait payer un salaire et plein d’autres avantages par son parti politique en plus de son salaire de premier ministre à même des fonds d’origine pour le moins douteuse, pas trop loin des mains du crime organisé.
Pourtant, qu’est-il écrit sur nos belles plaque d’immatriculation (ouf, juste à penser à la SAAQ, mon coeur tourne… quelle horreur de verser des salaires aussi déments à ses dirigeants)? C’est écrit sur nos plaques, JE ME SOUVIENS. Il faut donc se souvenir et ne pas oublier. Le parti libéral de Jean Charest a violé tous les nobles principes expliqué dans ce site et soutenus par un ordre professionnel et un institut! Et il continuera de les violer tant que nous ne l’arrêterons pas.
QUÉBÉCOIS, rassemblons-nous et exigeons que la saine gestion devienne obligatoire. À BAS LA CORRUPTION, À BAS LES POTS DE VIN. Qui sait comment lancer une pétition pour demander la démission de Jean Charest? Aussi, comment fait-on, en tant que peuple, pour exiger que le gouvernement respecte la saine gestion? Est-ce que les juges (pas les amis de Jean Charest évidemment) peuvent forcer l’application de la saine gestion?
Nicole
Valleyfield
Oui, assez c’est assez. On veut une saine gestion de l’État. Est-ce que Jean Charest visite ce site? Je vais lui envoyer le lien.
Concept fort intéressant et qui invite à de grandes réflexions, autant politiques, administratives que sociales. Cependant, tout ceci ouvre la voie à un degré d’honnêteté qui en ferait trembler plus d’un! Est-ce que nos dirigeants sont prêts à cela?
Je partage l’avis de madame ou monsieur Duval; nos politiciens devraient venir jeter un coup d’oeil à ce site.
Monsieur François, vous avez parfaitement raison. Je pense que nos dirigeants ne sont pas prêts à tant de transparence et d’honnêteté. Mais comme le mentionnait quelqu’un d’autre, moi en tant que D.G d’une organisation sans but lucratif, je suis intéressée par le concept pour d’abord me protéger moi-même contre toute attaque injustifiée (que ce soit de mon C.A., des journalistes, etc.). Ma compréhension est telle que si on suit ces « règles », on ne peut pas nous reprocher d’avoir mal gérer.
Par exemple, souvent on choisi un bureau d’avocats ou de vérificateurs externes de renom mais à fort prix, juste pour ne pas se faire reprocher d’avoir mal choisi si ça tourne mal. Est-ce que la Saine Gestion donne une marche à suivre comment agir dans des cas comme ça?
Jacqueline
Y’a en toujours un qui affirme avoir trouvé LA solution. En politique, par exemple, le parti à l’opposition prétend toujours faire mieux que le parti au pouvoir. Quand leur tour vient, ils font jamias mieux que celui qui était là avant.
La sainte gestion n’est qu’une mode passagère d’après moi. On aura vite fait de nous proposer autre chose… De toute façon, je ne pense même pas que que les journalistes ont parlé de la sainte gesrion.
Hellmut
Helmut, je vous propose une lecture : La résistance au concept …
Nous ne faisons pas de politique, seulement de la gestion. Vous avez droit à votre opinion. Cela fait 20 ans que nous entendons ce discours. Si vous avez la même opinion après une formation on en reparlera. Travaillez vous à la Caisse ? B
Je ne peux pas me pronocer avec autant d’assurance que Hellmutt W. ou Bernard B car je viens de découvrir le concept (je suis étudiant de cégep). Je dois faire une dissertation sur un sujet de gestion innovateur et je pense avoir trouvé un bon sujet. Est-ce qu’on peut trouver les livres annoncé dans la bande annonce dans une biblio car à mon cégep, il n’ont jamais entendu parlé.
NT
Bonjour, Selon l’éditeur CCH plusieurs exemplaires ont été distribués dans plusieurs bibliothèques universitaires et municipales. Votre professeur peut faire aussi une demande pour l’obtenir à prix réduit chez l’Éditeur. Si non, à titre d’étudiant, je peux vous procurer certains extraits et documents que l’on réserve aux membres de l’Institut. Écrivez-moi sur info@sainegestion.org avec une preuve d’étudiant.
Ok, tous le monde ici semble faire un lien entre saine gestion et gouvernement ou OSBL. Ma grande question, est-ce qu’il y a une place pour la Saine Gestion dans l’industrie privé ou publique? Je vais donner un exemple sans nommer personne pour expliquer ma question.
Dans beaucoup de grande boîtes cotées en bourse, seul les résultats, les résultats et les résultats comptent. Tu fais pas ton mois, bye. Il y a donc un climat de terreur que personne ne veut dénoncer, au risque de perdre sa job. Parfois il y a même des psychologues industriels pour calmer les situations tendues, les menaces et les comportements aggressifs avant que ça dégénère et viennent aux oreilles des média ou aux normes du travail. Tous les coups sont permis tant que tu livre la marchandise.
Y a-t-il de la place pour la Saine Gestion dans un pareil climat? Il me semble qu’il y a contradiction entre résultats et Saine Gestion??? Est-ce que je me trompe?
J.P.
La grille de 41 cases, le PODCC et les 6 principes fondamentaux de Saine Gestion s’appliquent dans tous types d’organisations, sociétés privées ou publiques. Vos propos sont très pertinents mais doivent être placés dans le contexte de l’entreprise privée qui n’a pas la même mission que les sociétés d’État. Faire du profit n’exclut pas d’assurer la viabilité à long terme. Je vous réfère à mon article : La résistance au concept de SG ….
Monsieur ou Madame J.P. soulève effectivement une question pertinente. Je découvre ce concept des plus intéressants mais je crains en même temps qu’il ne puisse être aisément appliqué à une organisation où le cours des actions est placé au dessus de toute réserve ou scrupule. Comment expliquer à son chef ou à son gestionnaire qu’on ne peut prendre telle ou telle décision parce qu’on viole tel ou tel principe de «saine gestion»? Le chef en question aura vite fait d’avoir notre peau et un remplaçant sans scrupule occupera notre bureau avant qu’on ait fini de faire nos cartons. Comment convaincre la haute direction d’adhérer à des principes aussi nobles sans y laisser sa peau? Imposer un tel mode de gestion par législation me paraîtrait abusif…
Marc
Vous avez tout à fait raison. J’aimerais vous répondre autre chose. Mais les PSGGR ont tout de même pour le privé une valeur de référence pour ceux qui ont une intégrité à défendre. Mais je peux vous dire que beaucoup de sociétés privées adhèrent à la Saine Gestion et ne s’en tirent que mieux. Et il y a les autres dont les conseils d’administration ont une autre vision des choses. Vous pouvez toujours changer d’emploi si vous considérez que l’on vous fait faire des choses qui sont contraires à votre éthique et à la loi. Plusieurs employés de Vincent Lacroix en comprendront bientôt les conséquences.
La liberté n’a pas de prix.
Un champ d’activité en pleine effervessence est la Gouvernance en TI. Est-ce que la Saine Gestion s’applique aux TI? Quelle est l’opinion de l’Institut de la Saine Gestion sur le sujet? Avez-vous un cadre de référence adapté aux TI?
Brahim
Manager TI
(Algérie)
J’aime beaucoup votre site… C’est très enrichissant. Comme je ne suis pas Canadien, je me demandais un truc. Vincent Lacroix semble être une figure mythique de la Seine Gestion. Est-ce un Robin des Bois canadien?
Ciao!
Loïc
Bonjour Loic. Pour répondre à votre question, en fait Lacroix est l’antithèse de Robin des bois. Il a honteusement volé les pauvres pour s’enrichir personnellement, faisant une vie princière et laissant derrière lui douleur et désolation. C’est un narcissique, mégalomane, omnipotent qui a trompé et soudoyé bien de gens dans son processus managérial. Notre intervention à son sujet en est une de management. Comment peut-on dédecter et prévenir ce genre de carnage dans la gestion des fonds de placement ? Les méthodes traditionnelles comptables ayant échoué, nous proposons depuis 20 ans une autre approche par audit de conformité de gestion grâce à une grille matricielle intégrant les actes de gestion avec les valeurs fondamentales. À notre avis, ce type de gestionnaire laisse plusieurs traces de non-conformité. L’Opinion de l’Auditeur se base alors sur les non-conformités qui peuvent nuire à la MISSION de l’organisation. Selon la matérialité (importance relative), une opinion professionnelle peut alors conclure à une non-conformité de l’organisation sur le plan managérial. Ce type d’audit ne peut être évidemment conduit sans l’assentiment d’une autorité : conseil d’administration, organisme de surveillance et de régulation, institution financière, actionnaires, etc.
Merci de votre intervention. Bernard Brault, F.Adm.A, FCMC
Tout à fait. Plusieurs spécialistes ont une expertise en TI. Entre 1995 et 2003, plus de 3 000 professionnels Adm.A ont été sensibilisés au concept et au modèle de Saine Gestion et plus de 250 professionnels autorisés par l’OAAQ à émettre une opinion de conformité après avoir conduit un Audit de Saine Gestion(R). Nous sommes à retracer ces professionnels et nous offrirons une liste au public, certains agissent sur le plan international. Le rôle de l’Institut consiste uniquement à faire la promotion et l’enseignement du concept et du modèle de Saine Gestion (avec S et G majuscules). Nous n’avons aucun lien avec l’OAAQ. Nos membres et commanditaires peuvent aussi vous aider, écrivez-nous à info@sainegestion.org.
Institut de Saine Gestion,